dimanche 12 mars 2017

Analyse de photo



Cette photo est une source primaire du salon de l'automobile en 1950, est une affiche publique publié dans un journal. Elle vise à nous montrer comment des gens commencent à être intéressés avec l’automobilisme puisqu'ils espèrent à accéder à avoir un automobile.

Pendant les années 1950, la France connaît de profondes transformations économiques et sociales, même si elles peuvent paraître limitées au vu des bouleversements ultérieurs. Elle s’aligne sur la situation des autres pays industrialisés. Elle y perd certes une partie de son originalité, d’où la nostalgie qui s’exprime à travers certaines œuvres littéraires ou artistiques. Elle y gagne cependant, tant en ce qui concerne le mieux-être de sa population que les capacités de production de son agriculture et de son industrie. Les années 1950 ont bien représenté une étape décisive dans la construction de la France d’aujourd’hui puisque des politiques de la IV république commencent aussi à se ressemblée a la politique actuel.

En ce qui concerne à la photo, on peut voir une grand affluence des personnes et c'est parce-que les records d’affluence ne cessent de tomber, il est vrai que les nouveautés se succèdent et que le public peut enfin espérer accéder à l’automobile. Les animations de constructeurs apparaissent au cours des années 50, une tendance qui se confirme tout au long des années suivantes. Nous pouvons déduire que la marque plus populaire étais Citroën et le model le plus venu Peugeot. Au milieu on peut nous fixer avec la voiture blanche et l'expectation que le nouveau modèle provoque. Il ne faut pas oublié que des améliorations automobilistiques ne cessent pas de croître et la voiture était moins cher et plus accessible à tous et en conséquence le Salon de l’automobile étais l’un des grands évènements de l’année à Paris.
Le salon de l'automobile (années 1950)

Rédaction sur l'assassinat d'Ilan Halimi



L'affaire Ilan Halimi a à voir avec l'assassinat d'un jeune Juif français de 23 ans après avoir été enlevé et violemment torturé en Janvier 2006 par une bande appelée Gang des Barbares. Le groupe était composé de vingt personnes, à la tête Youssouf Fofana. Le mobile de cette horreur, après le meneur, était demandé une forte rançon pour le jeune, en raison de leur appartenance à la communauté juive, ce qui veut dire que sa famille aurait l'argent pour payer la récompense pour restaurer le jeune Halimi.

Pour d'autres, il est nécessaire de dire que cette affaire ait touché toute la France, et l'Etat français a pris des mesures sur la question en raison du niveau du racisme et de l'antisémitisme coulait de chaque action et chaque relevé des éléments de la bande, et surtout le niveau de vengeance si terrible qui a traité la victime. Pendant des dates du jugement, en France il y a eu certaines manifestations en contre de tous les groupes terroristes et du racisme en général.

Mon analyse et mon humble conclusion est que le motif de l'enlèvement était non seulement l'argent, à mon avis, le mobile avait clair caractère antisémite et raciste, puisque le même Fofana et ses acolytes déclarent ça. Mais une autre chose importante est que, surtout Fofana n'a pas agi seul, et quand je dis «seul», je veux dire qu’il ne pas agir sans un soutien plus fort derrière celle d'une bande simple. Organisations islamistes et les groupes terroristes, je pense que, peut-être derrière la bande. Je suis sûr que, au moins je l'espère, les autorités européennes étaient claires en ce qui concerne le racisme; parce que sinon, l'horreur et la peur seront introduits en Europe. 

lundi 13 février 2017

Qüestions Jalons: L’assassinat d’Ilan Halimi par le «gang des barbares»

Expliquez ce qui est arrivé à Ilan Halimi. 

L’affaire du gang des barbares désigne les événements liés à la mort d'Ilan Halimi, enlevé dans la région parisienne puis séquestré et torturé en janvier 2006 par un groupe d'une vingtaine de personnes se faisant appeler le « gang des barbares », dirigé par Youssouf Fofana. Leur choix se porte sur Ilan Halimi, car, du fait de son appartenance à la communauté juive, il est censé selon eux être riche.

Quel était le mobile du crime ? 

Selon les premières auditions, le mobile semble avoir été le même, l’argent. Ilan Halimi a été retrouvé près de cette voie ferrée agonisant trois semaines après son rapt, il n’a pas survécu à ses blessures.

Pourquoi d’après vous ce crime a-t-il une dimension antisémite ?

L’affaire a suscité une vive émotion en France, y compris au plus haut niveau de l'État, du fait de l’antisémitisme des auteurs du crime et des conditions de séquestration et de mort du jeune homme.
Le motif de ce crime est crapuleux et antisémite : il s’agissait d’extorquer de l’argent à la famille de la victime, « supposée riche car juive », alors que le salaire d'Ilan n'était que de 1 200 euros mensuels. Lorsque les ravisseurs se sont rendu compte que la famille (le père, Didier Halimi, gérant deux boutiques de vêtements, la mère Ruth secrétaire) ne disposait pas de la somme exigée — dont le montant a varié de 450 000 à 500 000 euros —, ils ont chargé un rabbin choisi au hasard dans l'annuaire téléphonique de récolter l’argent dans « sa communauté » pour payer la rançon

dimanche 5 juin 2016

Jeux interactifs




LE JEU D'ONAC

Cet jeu s'agit de completer missions parce-que le pére d'Onac veut se memoriser l'histoire du XXème siècle:

                                       (dans l'objectif 2 on doit aider des soldats avec des taxis)


LE DEBARQUEMENT

Cet jeu s'agit de travailler dans un radio en aidant à des journalistes pour exemple a creé un page sur le debarquement en Normandie:



LE VOYAGE D'ERNEST

Dans le Voyage d'Ernest on doit passer des differentes sceanes pour suivi la guerre. on doit découvrir des pistes pour pourrais suivi avec le jeu.



Personnages de la Première Guerre mondiale

Erich von Falkenhayn

Erich Georg Anton von Falkenhayn, né le 11 septembre 1861 à Burg Belchau (aujourd'hui Białochowo (de) en Pologne) et mort le 8 avril 1922 à Potsdam, est un officier prussien qui a servi dans l'armée allemande notamment durant la Première Guerre mondiale.

Après une carrière d'officier d'état-major marquée par ses voyages en Chine, général dès 1912, il est le ministre de la Guerre de Prusse de 1913 à 1915 et le chef de l'État-Major général de septembre 1914 à août 1916, à ce titre un des concepteurs de l'offensive de Verdun.

Après sa démission, il est envoyé en Transylvanie comme commandant de la 9e armée avec laquelle il fait la conquête de la Roumanie, puis en Palestine comme chef de la Heeresgruppe F (un groupe d'armées ottomanes) à partir de juillet 1917. De février 1918 jusqu'à la fin de la guerre, il est le commandant de la 10e armée.

Penndant la Première Guerre mondiale, Erich von Falkenhayn a succédé à Moltke comme Chef de l'État-Major de l'Armée allemande le 14 septembre 1914, après la première bataille du Marne. À la différence de ce que Moltke, von Falkenhayn utilisait des tactiques beaucoup plus élaborées et soignées. Par cette époque il a maintenu des discussions avec Paul von Hindenburg et Erich Ludendorff, puisqu'ils étaient partisans d'envoyer des troupes au front russe, alors qu'il croyait que l'objectif une ère principale la frontière occidental. Les adversaires de la stratégie de Falkenhayn disposaient de l'appui du haut commandement austrohúngaro. Le vrai objectif de von Falkenhayn il était de réussir à entrer dans une guerre d'usure qui videra les deux économies, la chose qu'il a obtenue durant la bataille de Verdún. Le même a tenté dans la bataille du Somme, qui a pris fin avec victoire du Triple Entente. Plus de demi-million de soldats allemands ils sont morts dans la boue de Verdún.




Joseph Joffre


Joseph Jacques Césaire Joffre, né le 12 janvier 1852 à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) et mort le 3 janvier 1931 à Paris (7e), est un officier général français de la Première Guerre mondiale, artisan de la victoire alliée lors de la bataille de la Marne et de la stabilisation du front nord au début de la guerre. Il est nommé maréchal de France en 1916.

C'est aussi un des responsables militaires les plus controversés du xxe siècle, notamment en raison de l'emploi de la stratégie militaire de l'« offensive à outrance », extrêmement coûteuse en vies humaines pour des résultats relativement médiocres sur le terrain, notamment lors de la bataille des frontières et de la bataille de la Marne. En 1916, il est remplacé par le général Nivelle. En 1918, il est élu à l'Académie française.

À l'éclatement de la guerre, le plan français est tombé avec fracas avec le Plan Schlieffen de l'Allemagne. Joffre a aidé à revertir la situation au moyen de retirées et des contre-attaques dans la Bataille du Marne. 9 a combiné les divisions. ª et 10. ª de l'armée à l'intérieur des 6. ª durant deux semaines en elles revenant à la division de Gallieni. Après l'échec terrible de Verdún et l'offensive anglo-française dans le Somme, il a été remplacé par le Général Robert Nivelle, le 13 décembre 1916. 
Comme toujours une ère populaire, il a été nommé Maréchal de la France, le premier homme dans recevoir ce rang durant la Troisième République, cependant son papier est été moins qu'un cérémonial. 
Il a été un directeur de la mission militaire française aux États-Unis en 1917 et un leader du Concile Suprême de Guerre en 1918. La même année le Canada a nommé à offre dans un hommage à lui. Il s'est retiré en 1919 et a été nommé membre de l'Académie Française. Avait aussi été nommée à cheval une grande croix de la Légion de Honor et à cheval une grande croix d'honneur de l'Ordre du Bain, du Royaume-Uni. 
En 1920 il a présidé les Jeux traditionnels Floraux de Barcelone, de l'Espagne.




I Guerre Mondiale-Bataille des Dardanelles





L'expédition des Dardanelles a eu lieu en 1915-1916. C'est l'une des opérations militaires de la Première Guerre Mondiale. La Turquie avait déclaré la guerre à la France, au Royaume-Uni et à la Russie le 31 octobre 1914. Il s'agissait pour les franco-anglais de débloquer le Détroit des Dardanelles en territoire turc, afin de s'emparer de Constantinople, la capitale de l'empire ottoman. La Turquie devrait alors cesser de faire la guerre aux côtés de l'Allemagne et de l'Autriche-Hongrie. Le retrait turc ferait un ennemi de moins pour la Russie et lui permettrait de mieux faire face aux armées allemandes et austro-hongroises devant lesquelles elle est en difficulté.

Le Royaume-Uni, avec ses anciennes colonies d'Australie, de Nouvelle-Zélande, fournit la plus grande partie de la marine et des troupes. Mal préparée par Winston Churchill, alors Premier Lord de l'Amirauté britannique, l'expédition est un échec. Les turcs, sont mis en éveil le 3 novembre 1914, par un bombardement naval des forts qui contrôlent l'entrée du détroit, mais les navires retournent dans leur base de Lemnos. Les Turcs ont le temps de se renforcer. Une nouvelle tentative pour forcer le passage le 19 février échoue. Les Turcs ripostent efficacement quand le 18 mars 1915, les Britanniques veulent de nouveau passer, la manœuvre qui est un échec. Les Britanniques renoncent alors à l'intervention navale. À partir du 25 avril 1915, le débarquement de troupes d'infanterie dans le sud de la presqu'île de Gallipoli est aussi un échec : les Franco-Britanniques sont bloqués sur la côte et ne parviennent pas à pénétrer dans l'intérieur. Le front se stabilise en juillet. Un débarquement tenté plus au nord par les Australiens et les Néo-Zélandais, le 6 août, ne donne pas de meilleurs résultats. Les victimes aussi bien des combats que des conditions de vie déplorables sont très nombreuses de part et d'autre.

Le rembarquement des troupes franco-britanniques se fait en deux étapes entre le 19 décembre 1915 et le 9 janvier 1916. Les Britanniques ont perdu 200 000 hommes (morts et blessés), les Français 50 000 et les Turcs 260 000.

                                           

                                                  (Vue dessinée des Dardanelles)


                                      
                                         (Les défenses turques sur le détroit des Dardanelles)


La Commune de Paris

La Commune de Paris est un gouvernement révolutionnaire français qui a duré environ deux mois (du 18 mars au 27 mai 1871). Cette rébellion contre le Gouvernement, issu de l'Assemblée nationale qui venait d'être élue au suffrage universel, ébaucha pour la ville, une organisation proche de l'autogestion. Elle est pour partie une réaction à la défaite française de la guerre franco-prussienne de 1870 et à la capitulation de Paris.

Contexte

Depuis 1870, la France est en guerre contre la Prusse. Les troupes de Napoléon III sont défaites, il est fait prisonnier et abdique. Le Second Empire est terminé. Un gouvernement provisoire se met en place en 1871, majoritairement composé de Républicains. Mais il est partagé entre ceux qui veulent continuer la guerre (Gambetta) et ceux qui veulent la paix (Thiers). La Prusse a encerclé Paris qui subit une terrible famine. Pour qu'un traité soit possible avec l'Allemagne, Bismarck exige la création d'un gouvernement légitime. Des élections sont organisées en 1871. Les résultats sont clairs : les Français majoritairement ruraux votent pour les monarchistes et la paix. Adolphe Thiers devient le chef du nouveau gouvernement.

Naissance de la Commune

Mais les habitants de Paris, majoritairement des ouvriers qui ont vécu la famine pendant le siège de Paris et résisté aux attaques prussiennes, veulent continuer la guerre. Ils s'opposent à la nouvelle assemblée qui pourrait vouloir entraver la construction de la troisième République. Pendant le siège de Paris, les habitants s'étaient cotisés pour acheter des canons pour défendre la ville. Ces canons étaient entreposés sur la colline de Montmartre. Thiers, se doutant du risque de révolte des Parisiens, veut les récupérer. Mais ces derniers empêchent la troupe du général Lecomte de s'en emparer, le 18 mars 1871. Son exécution marque le début de la Commune.

Déroulement de la Commune

Les communards (nom donné aux révolutionnaires qui participèrent à la Commune) s'opposent à l'Assemblée nationale, installée à Versailles, et à Adolphe Thiers. Ils s'installent à Paris et forment de nombreuses barricades qui s'opposent aux troupes versaillaises.

Fin de la Commune

La Commune fut renversée au cours de la Semaine sanglante (du 21 au 27 mai 1871), qui fut l'objet de nombreux massacres et destructions. La répression fut très dure, avec maintes condamnations à mort et déportations.